samedi 28 janvier 2012

LA BOLIVIE, LES BOLIVIENS

SUR LA ROUTE :


En Bolivie, le code de la route et les règles de priorité sont différentes selon la couleur du véhicule. Ne cherchez pas à  comprendre, nous avons observé de nombreuses intersections,  et nous n’avons pu en faire aucune autre conclusion (même les taxis, loueurs et autres professionnels de la route ne savent pas de quoi il en retourne).
En cas de doute à une intersection, un petit coup de klaxon et ça passe !

 Il n’est pas rare de voir toute une famille sur le même scooter.









 Vous pouvez même louer la moto d’un chauffeur de moto-taxi sans aucun papier :
‘’ tiens, laisse-moi ta moto et prends 100 pesos, je reviens ce soir’’.











L’AVION :

Pour ce qui est de l’avion, c’est un peu mieux (voir l’article précédent), mais ils sont capables de caler l’appareil avec des bagages devant la roue...
Dont le sac de Caro.





LA POLICE :

En Bolivie on peut trouver jusqu’à 3 policiers  sur un scooter. (donc le déli de fuite est envisageable, sauf si il commence à tirer...)
Et ici, demander son chemin à un policier ne rime à rien, on se demande même si ils savent où est le commissariat. A l’Office des Douanes et de l’Immigration, tout le monde  est sur Facebook (on a pas osé les prendre en photo, mais on va en demander un ou deux en ami, on ne sait jamais.)


Voici quelques militaires en plein entrainement d’observation du milieu aquatique.


LES MAGASINS :

En Bolivie, on peut trouver une échoppe vendant en tout et pour tout : des articles funéraires, des brosses à cheveux et des empanadas. ( cherchez le rapport ???) Bien sur, les prix ne sont jamais affichés et cela peu donner lieu à des négociations épiques.



En Bolivie, on peut trouver des dépliants publicitaires pour des musées, bars, et resto sans adresse… Reste plus qu’à  demander son chemin  à un policier…


LES RESTAURANTS :

En Bolivie,  on peut attendre  une heure pour une boisson ou un plat qui n’existe plus, sans que personne ne vous en informe. Et quand on demande dans combien de temps ce sera  prêt et que la réponse est ‘’mas o  menos,  5 minutas’’, il faut comprendre entre  5 et 55 min… et c’est plutôt  ‘’mas’’ que ‘’menos’’.


LE CHASSEUR :

En Bolivie, un fusil peut s’acheter, mais surtout il se fabrique. Un tube, des fers à bétons, quelques vis… 500g  de feuilles de coca et c'est parti ! Je crois que Néné et son Baikal qui fermait avec un Serflex est battu.




LES CONSTRUCTIONS :


En Bolivie, dans le bâtiment comme partout, pas de chichi, on ne s’embarrasse pas des finitions (ni de la sécurité). Petit exemple avec la douche chauffé électriquement :






Bref, une bonne dose de débrouillardise et le grand n'importe quoi font parti du charme du pays, même si des fois, on s'arrache un peu les cheveux...




1 commentaire:

  1. oh mec je vois que tu commences à parler de supportage MUPRO, norme ISO, raccordements élec...ça commence à te manquer mon petit? POLZ

    RépondreSupprimer