De Trinidad, nous avons repris l’avion pour
Rurrenabaque avec Axel et Elsa.
Cette fois, changement de compagnie, la TAM ne desservant
pas cette destination, nous sommes passés par AMASZONAS.
C’est plus cher mais moins bien.
L’avion étant plus petit, il n’y avait pas de place
numérotée, pas de coffre bagage à main, pas de consigne de sécurité, pas de
petit sandwich de bienvenu, pas d’hôtesse, pas de toilette à bord… La seule
chose de rassurante, était que les pilotes n’avaient pas l’air Bolivien. (Et on
pouvait les surveiller, car en l’absence de porte de cockpit, nous pouvions
tout voir et tout entendre)
Au moment de s'installer, ça souriait encore...
Le temps étant orageux, et l’avion un peu pourri, sur la
moitié du vol, nous avons eu droit aux montagnes russes dans le blanc des
nuages… C'était assez épique !
L’air conditionné et la pressurisation de l’appareil ne
marchaient pas très bien, et le vol a été ponctuer par les alarmes des
instruments de navigation… et les vomissements de certaines passagères (hum).
Cette alternance, parfois avec le bon timing, de ‘’bip bip
bip bip…’’ et de ‘’…beuuurp !’’ nous a bien fait marrer, Axel et moi.
Pour ce qui est des filles, elles hésitent maintenant à
faire entre 20 et 40 heures de bus pour aller jusqu’à la Paz, au lieu de
reprendre l’avion…
Après cette petite heure de vol, nous nous sommes posé sur
une piste goudronnée complètement isolé au milieu de la jungle, l’unique
bâtiment de l’aérodrome étant situé à 1km de là et accessible par un chemin de
terre.
Une petite pensée pour caro dans ce coucou, je n'aurais pas fait la maline....et puis sans toilettes, c'est tout simplement impossible pour moi...!!!! Bisous les loulous
RépondreSupprimerJulie
Une petite pensée pour caro dans ce coucou, je n'aurais pas fait la maline....et puis sans toilettes, c'est tout simplement impossible pour moi...!!!! Bisous les loulous
RépondreSupprimerJulie